Tracé autour du village de Durcet (Orne), le Chemin des poètes est balisé de 16 bornes accueillant chacune le poème d'un auteur, le plus souvent contemporain. Chaque année, au printemps, les amateurs (plus d'une centaine) empruntent ce chemin à la rencontre des auteurs qui donnent lecture de leurs textes. Ces textes sont regroupés dans un recueil illustré, chaque année renouvelé.

Autant de poètes, autant d'écritures. Pour cette édition 2009, je me suis efforcé de créer un lien graphique entre les poèmes : c'est l'arbre qui assure ce lien. Pour la technique : plume et  encre de Chine.

L'image illustre une réalisation de Jean-Paul Plantive qu'on peut lire sur le blog Biloba.
 

Champ de colza (étude), mars 2024, acrylique sur papier, 28 x 42 cm

Si l'edelweiss était rouge, on l'appellerait coquelicot.

Série Le Grand Répit
2024, pastels, craies et fusain sur papier kraft, A4

La montagne qui cache la souris (commentaire libre de droit).

Série Le Grand Répit
2024, pastels, craies et fusain sur papier kraft, A4

Au milieu des peintures* des champs de colza en fleurs, cette page du Grand Répit**, ainsi légendée :
« Demander à l'automne de patienter »

* sur cet écran, dès qu'elles seront sèches.
** Les premières pages sur le site yves.barre.free.fr.

L'ici bleu, 2024, acrylique sur papier, 28 x 20 cm

M. Lactalis :
– Et après le bleu... le calembert ?

L'humour de M. Lactalis m'échappe, à vous aussi sans doute !

Étude de bleus, tissu de jean, papier, acrylique